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Sylvie Muller

Sylvie Muller

Née à Delémont, Sylvie Muller a passé l’essentiel de sa vie à New York. Si elle revient régulièrement dans le Jura, où elle a exposé à de nombreuses reprises, l’exposition qui s’ouvre en cette fin de semaine est certainement la plus importante puisqu’elle occupera l’ensemble du Cloître de la Collégiale, ainsi que le Musée lapidaire pendant six semaines. Ses études, l’artiste les a faites à Bienne, à l’école des arts visuels, ainsi que chez un graphiste aux Etats-Unis, Milton Glaser, qui travaillait notamment avec le dessinateur Folon. A Genève, elle a aussi collaboré avec Roger Pfund, à qui l’on doit les billets de banque français. Sylvie Muller a reçu notamment une bourse de la République et Canton du Jura pour se former dans les métiers du cinéma. On lui doit notamment l’affiche de la Schubertiade de Delémont, en 1998. Aujourd’hui, elle souhaiterait revenir en Europe, voire dans le Jura.

Grands formats

Le portrait a toujours été le centre d’intérêt de l’artiste. Mais en petit format ou en porcelaine, étant donné les locaux à sa disposition aux Etats-Unis. Depuis six mois, elle travaille à Delémont sur des grands formats (1,13 m sur 1,30 m), toujours dans le domaine du portrait. Elle a choisi comme fil rouge des jeunes Jurassiennes et Jurassiens qui chantent, raison du titre de l’exposition : « Eclats de voix ».

A la poursuite du Portrait Spirituel et Narratif

Sylvie Muller : « le Portrait – J’y ai consacré toute ma démarche artistique. En découvrant Marlene Dumas il y a quelques années au Moma, j’ai été fascinée par son génie d’aquarelliste. Dumas a déclenché un processus de changement dans mon travail. J’ai longtemps utilisé une technique minutieuse et élaborée, travaillant principalement l’acryl et le collage dans un style “post-renaissance”.

Plus praticienne que théoricienne, c’est en peignant que je trouve des idées de concept.

L’exposition “Is That All There Is?”, à la galerie Au Virage à Séprais en février 2013, a marqué une nouvelle étape. Par l’encre japonaise, plus libre et spontanée, en transparence et sans concession, j’ai épuré et libéré mon geste.

Je recherche les textures, les contrastes du trait, flous ou affinés, pour exprimer une expression. Doucement, je m’aventure plus loin, travaillant textures et fonds. Le hasard prend part au processus et chaque portrait est conçu dans une intense concentration, tel un funambule sur son fil.

Montrer l’invisible, capturer les instants furtifs – le souffle inspiré avant le saut, les yeux qui se ferment avant de plonger, la grimace inconsciente formée par la pensée – voici l’essence.

Infusé d’images subliminales et de références culturelles, mon travail explore et remue inlassablement le langage du portrait contemporain:

Tisser les peintres flamands avec les maîtres de la Renaissance… Marier photos privées, images collectives et icônes romanesques…

Technique: aquarelle en palette, encres de couleurs et encre japonaise (nuances de noirs), poudre, colorants naturels et autres concoctions.

Support: papiers aquarelle  de provenances diverses, de grains et d’épaisseurs multiples, jusqu’à la transparence et à la superposition. Mes tableaux sont carrés, ils conviennent au portrait et permettent de composer triptyques, collectifs, mosaïques et assemblages.

La porcelaine fait partie de ma démarche depuis 2003 et accompagne mon travail en 2D ».

Projet de portraits

Pour la réalisation de l’exposition ‘Éclats de Voix’ à Saint-Ursanne, du 24 mai au 5 juillet 2015, mon travail a évolué vers les grands formats à l’encre et acryl sur papier aquarelle (113 x 130 cm en moyenne).

C’est un changement radical dans ma façon de peindre, orientée jusqu’à présent vers les petits formats. Après six mois d’apprentissage’ de la gestuelle dans un espace dix fois plus grand qu’auparavant, ayant acquis une meilleure compréhension du recul et apprivoisé de nouveaux d’outils de travail, je souhaite poursuivre cette nouvelle dimension, mais dans une direction plus libre et plus minimaliste.

La maîtrise du grand format est pour moi essentielle: un travail quotidien est vital pour parvenir à l’équilibre et à l’harmonie du geste.

Mes portraits s’inspirant toujours de personnes réelles et bien vivantes, le lieu et ses habitants ont une importance essentielle et définissent chacun de mes projets d’expositions.

Étudier les particularités, les diversités d’une région et de ses communautés, puis transposer et mettre en scène ses habitants est l’essence-même de ma démarche artistique.

Chaque personne devient acteur de mon conte visuel.

Un tournant dans ma vie qui doit advenir, inévitablement.

Barni Kiener

Barni Kiener (geb.1965) ist in Münsingen und Ittigen in einer kunstliebenden familiären Umgebung aufgewachsen. Seine eigentliche künstlerische Wiege lag jedoch in Erlach, wo er in der Galerie René Steiner mit grossen Namen der modernen Kunst vertraut wurde.

Sein künstlerisches Handwerk hat sich der Künstler in verschiedenen Ateliers geholt. Ein Teil seines Werdegangs war der Radierung und dem Tiefdruck gewidmet, mit seinen Arbeiten hat er sich an den verschiedenen internationalen Triennalen in Grenchen und Le Locle beteiligt. Zum Jura hat er eine ganz persönliches Verhältnis entwickelt, arbeitete er zwei Jahre im ehemaligen Ateleierhaus seines verstorbenen Künstlerfreundes Martin Disler in Les Planchettes. Zu sehen waren seine Arbeiten in Einzel- und Gruppenausstellungen, in Weihnachtsausstellungen in Biel sowie in verschiedenen Plastik-Ausstellungen im Freien.

Seit einigen Jahren arbeitet Kiener auf dem Gebiet der Plastik mit verschiedenen, auf den Ort eingehenden und auf ihn abgestimmten Installationen.aus vergänglichem Material. Er legt Wert darauf, auch nur den leisesten Eindruck zu verhindern, es könnte sich bei seiner Arbeit um die blosse Verschönerung eines Ortes handeln. Er lässt deshalb immer etwas vom Herstellungsprozess und vom Geist durchscheinen, der ihn bei der Arbeit leitete. Im Laufe der Zeit hat er eine Anzahl Grundfiguren entwickelt, die zum .Inventar seiner zwar persönlichen, aber jedermann verständlichen Mythologie gehören, wie den Steinflieger oder das Vogelhaus (oder Nistkasten). Zum andern versucht er mit einfachen Objekten Lebenssituationen (zum Beispiel „verfangen“) plastisch darzustellen. Stilistisch besteht bei seinen Arbeiten ein entfernter Zusammenhang mit der Arte povera.

Pat Noser

Lebenslauf 1960 Geboren in Aarau 1984-88 Schule für Gestaltung Zürich Seit 06 Kokuratorin espace libre Biel Seit 05 PATRICK – KUNSTAG, Zusammenarbeit mit Monsignore Dies 01-06 Kunstkommission der Stadt Biel Seit 04 Vorstand Visarte Biel Ausstellungen (Auswahl) 08 Monochrome Stellleben, Galerie Selz Contemporain, Perrefitte Jetzt Kunst, Rapperswil, Skulpturenausstellung 11 Freunde JF Galerie, Zürich Das Fussballrasen Macelleria d’Arte, St Gallen 07 Ausstellung Kulturpreis Sparkasse Karlsruhe, Karlsruhe Surréalités Gruppenausstellungen, Centre PasquArt Biel LOKAL. int, Biel Einzeln Dings, Museum of Porninart in Zürich, Einzelausstellung 07/02/00 Galerie Kunstkeller Bern, Zweierausstellugen 98-08 regelmässig Weihnachtsausstellung Biel 05 Intervention im Spritzenhaus, Nidau, Einzelausstellung 05/06 Gruppenausstellungen Galerie Elisabeth Staffelbach in Aarau 05/98 Neue Galerie 6 in Aarau, Einzelausstellung Seid 01 Joli mois de mai, Biel 99/02/05 Jahresausstellung im Kunsthaus Glarus 04 I love Luzern, Visarte Biel im Kunstpanorama in Luzern 99/02/04 Galerie Vinelz in Vinelz, Zweierausstellung 03 Rapp Kunst im ruralen Raum in Rapperswil, Gruppenausstellung Nu Gruppenausstellung im Photoforum Centre PasquArt in Biel Ankäufe Sparkasse Karlsruhe, Stadt Biel, Kanton Bern, private Sammlungen Kunst und Bau 97 Protochemie, Mitlödi Stipendien 08 Reisestipendium des Kantons Bern

Philippe Hinderling

Né en 1955, artiste et enseignant, régulièrement présent sur la scène régionale et occasionnellement dans toute la Suisse par quelques expositions individuelles et de nombreuses participations à des collectives, dont ces dernières années:

  • 2000: collective à MIRE, Genève. Installation „LOVE’ à l’espace libre, PasquArt Bienne. Expo des artistes jurassiens, Moutier. „SCOOTIE’, multiple commandé par la Société des beaux arts de Bienne.
  • 2001: „BALANÇOIRE’ au Spritzenhaus, Nidau. EN PasquArt, Bienne.
  • 2002: „HORIZON’, installation à l’Ancienne Couronne, Bienne. „STETHOPHONE’, installation à OPEN02, Bienne. „Re.V’., installation lors de l’EN, PasquArt, Bienne.
  • 2003: „INIT’, installation exrérieure, Centre PasquaArt, Bienne. „COCOON’, installation au Stage Pavillon, Stadtgalerie, Berne. ‘PETIT FRERE’, installation lors de l’EN, PasquArt, Bienne.
  • 2004: ‘ NATIONALQUAI PANORAMA’ et ‘NATIONALQUAI VEDUTA’, 2 travaux lors de l’expo I LOVE LUZERN (5 artistes biennois au Kunstpanorama Lucerne, échange visarte). Galerie Vinelz, avec L.Lekou Meir et Pat Noser. EN des artistes jurassiens, Moutier.
  • 2005: ‘ BABEL’, lors du ‘Joli mois de mai’, Ancienne Couronne, Bienne. ‘MON CŒUR POUR TOI’, performance-installation EN Pasquart Bienne.
  • 2006: ‘BALLADE MMS’, EN Pasquart Bienne, ‘MMS POUR ALICE’, EN des artistes jurassiens, Moutier. ‘QUICK SCULPTURE’ multiple pour les éditions ‘FäSTING PLOKARE’ Bienne.
  • 2007: ‘BALLADE MMS’ Mobiliar Berne, IN-VISIBLE, Galerie Vinelz, avec le kou Meir, Monika Loeffel, Thomas Schori, ‘WITH A LITTLE HELP FROM MY FRIENDS (anche io andresi alla biennale)’, Joli mois de mai, Bienne, « SONO » EN Pasquart,Bienne
  • 2008 : « SOFA ». Lokal.Int, Bienne, « PLIABLE », Joli mois de mai, Bienne, « CONSOLATION », EN Pasquart, Bienne, « CAREZZA », EN Moutier

Dominik Stauch

Geboren / born 1962 in London. Lebt und arbeitet / lives and works in Thun. 
Ausbildung zum Grafiker / Trained as a graphic artist. 
1984-1987 Studium an der Hochschule der Künste Berlin / studied at the Hochschule der Künste Berlin 2001 Aeschlimann Corti Stipendium der Bernischen Kunstgesellschaft 
2005 Preis für Bildende Kunst der Stadt Thun 
2007 Preis der Stiftung für die Graphische Kunst in der Schweiz
2008 Atelierstipendium Berlin / Stadt Thun
Anerkennungsbeitrag der UBS Kulturstiftung, Zürich

Site internet

Mirjam Gottier

Bio

  • geboren 12.12.1983 in Biel
  • 90-99 Primar/Sekundarschule Safnern/Orpund
  • 99-00 Vorkurs SfG Biel
  • 00 Auslandaufenthalt England
  • 01 Jeune fille au-pair Fribourg
  • 01-04 HKB Bern, Studiengang Kunst
  • 05-06 Arbeiten im Atelier, Biel Indien Reise
  • 07 6 monatiger Atelieraufenthalt in Bruxelles

Ausstellungen

  • 2004
    • CentrePasquArt, Biel Aeschlimann-Corti
    • CentrePasquArt, Biel Diplomausstellung HKB
  • 2005
    • marks blond project Raum für zeitgenössische Kunst, Bern
    • Kunstraum „chambre“ Reconvilier
  • 2006
    • „bodybild“ Heiligkreuz 2007 CentrePasquart, Biel Weihnachtsausstellung
  • 2008
    • Alte Krone, Biel
    • Espacelibre, Biel
    • Lokal int., Biel
  • 2009
    • Art Molenbeek, Bruxelles

Unterstützungsbeiträge, Stipendien

  • Förderpreis Aeschlimann-Corti 2004
  • Werkbeitrag Kunstkommission Kanton Bern 2005
  • Atelierstipendium Ernst Anderfuhren Stiftung (Bruxelles) 2007

Publikationen

  • Raumgestaltung-Mythenlandschaft, HKB 2004
  • Ausstellungskatalog „bodyBild“ 2006

Francine Simonin

Jurassienne d’origine, Francine Simonin est toutefois née à Lausanne (le 2 octobre 1936). Mais elle partage sa vie entre la France (Evian) et le Canada (Montréal). C’est que, de nationalité suisse, elle est citoyenne canadienne depuis 1974.

Peinture, dessin et gravure constituent sa création, extraordinairement imposante. Elle étudie à l’Ecole des beaux-arts de Lausanne (aujourd’hui Ecole des arts visuels) de 1955 à 1958. Elle obtient une Bourse fédérale de peinture en 1964 puis, en 1968, une Bourse fédérale de gravure accompagnée d’une bourse de trois mois de travail à Montréal, qu’elle parvient à faire prolonger de six mois.

C’est aussi le début de son activité professorale puisqu’elle enseignera les arts plastiques à l’Université du Québec à Trois-Rivières de 1971 à 1994. Elle sera aussi professeure invitée de 1993 à 1995 à l’Ecole des arts visuels de Lausanne.

Les bourses et prix obtenus par Francine Simonin sont nombreux, du Prix Alice Bailly, Lausanne, en 1966, au Prix de la Fondation Monique et Robert Parizeau pour l’ensemble de son œuvre en 2004 ou encore le Prix Irène Reymond, Neuchâtel, pour l’ensemble de l’oeuvre en 1986, et le Prix de la Fondation vaudoise pour la création, Lausanne, pour l’ensemble de l’oeuvre, en 1990.

On ne compte plus les expositions auxquelles elle a participé, aussi bien en Suisse qu’au Québec, mais également en Hollande, à Belgrade, Bruxelles, Bordeaux ou encore Bangkok. On peut mentionner en 1965 la Galerie Maurice Bridel à Lausanne, le Centre culturel du Québec à Paris (1980), le Centre culturel suisse à Paris (1996), le Musée d’art contemporain à Montréal (1978). Récemment, elle était encore à la Galerie Nane Cailler à Pully. Elle a aussi exposé au Musée jurassien des beaux arts de Moutier (1990) et fait l’objet d’une contribution dans la revue d’art jurassienne « Trou ».

Sur le site http://www.sikart.ch, Nicolas Raboud écrit : « L’art de Francine Simonin est marqué tout entier par le corps et le mouvement, le mouvement comme un signe et le corps comme une trace ».

André Raboud

De mère française et de père suisse originaire du Valais, André Raboud est né à Strasbourg et fait des études secondaires en France avant de s’installer à Monthey avec sa famille et de faire un apprentissage de décorateur. Très tôt, il s’intéresse à la peinture qu’il abandonne toutefois rapidement au profit de la sculpture. Il n’a que 21 ans lorsqu’il expose pour la première fois à Monthey.

En 1971, le groupe des six organise une exposition itinérante de peinture et de sculpture à Martigny et à Monthey qui sera l’une des premières manifestations de la scène artistique valaisanne. Cette année là, André Raboud réalise aussi sa première grande commande d’oeuvre monumentale. Il est aussi membre fondateur de la section valaisanne de la Société des peintres, sculpteurs et architectes suisses. Il participe en 1974 à la première manifestation d’art contemporain du Mans où il reçoit le premier prix de sculpture ainsi que celui de la critique.

André Raboud est professeur de sculpture à l’Ecole cantonale des beaux-arts de Sion pendant deux ans. Il réalise ses premières oeuvres monumentales pour la ville de Monthey, puis pour l’hôpital de Sion. En 1980, il participe à l’exposition de sculpture suisse de Bienne et reçoit la bourse fédérale des beaux-arts.

Marié depuis 1972 à la Jurassienne Marie-Christine Theurillat, organiste, il s’installe à Saint-Triphon (VD) en 1981 et 1982. Il aura deux filles, dont l’une meurt accidentellement. Il voyage notamment en Inde et au Japon et conçoit toujours de nombreuses oeuvres monumentales, aussi bien pour des particuliers que des collectivités publiques. On en trouve notamment chez Nestlé, à la SUVA à Sion mais aussi au CIP à Tramelan.

André Raboud a participé à de nombreuses expositions dans divers pays. Parmi les dernières, on peut mentionner Lausanne, Champéry, Vevey, Fribourg ou Martigny. Outre Saint-Ursanne, il expose aujourd’hui au Vieux Manoir à Morat ou encore à la Triennale de sculpture contemporaine de Bex. André Raboud est aujourd’hui âgé de 59 ans.

A noter encore le récital de piano et violon du 30 août, avec des oeuvres de Marie-Christine Raboud-Theurillat.

Site internet personnel : http://www.andreraboud.ch

Gaemperle, Gerber et Rebetez

Né à Porrentruy en 1973, Léonard Félix vit aujourd’hui à Carouge, dans la banlieue de Genève. Il a notamment étudié à l’école des beaux-arts de Bâle et enseigné, en particulier à Genève. Il expose depuis 1995, notamment à Porrentruy, à Chevenez, à Moutier et à Delémont, à la FARB, institution dont il est lauréat en 2005. En 2001 il participe à un atelier d’artiste à Barcelone grâce à une bourse offerte par la République et Canton du Jura. On doit à Léonard Félix plusieurs publications et des illustrations d’ouvrage pour Pascal Rebetez et Christophe Gallaz. Il occupe cette année le cloître de Saint-Ursanne.

Daniel Gaemperle, est né en 1954 à Alger mais est suisse d’origine, pays dans lequel il vit depuis l’âge de 8 ans. Il a une formation de dessinateur en bâtiment et est autodidacte en tant qu’artiste. Il s’est formé notamment en Espagne, au Japon, à Taïwan, au Portugal et aux Pays-Bas. Outre la peinture et le dessin, il est actif aussi dans la conception d’aménagements de bâtiments. Daniel Gaemperle est domicilié à Petit-Lucelle.

Daniel Gaemperle a notamment reçu une bourse de la Fondation Pro Arte de Berne et de nombreux premiers prix de sculptures ou de vitraux. Ses expositions ne comptent plus, de Chevenez au Noirmont, en passant par Laufon ou encore Saignelégier et Delémont, sans être exhaustif. Ses publications aussi sont nombreuses.

Jean-Pierre Gerber, 68 ans, est né à Tramelan mais vit aujourd’hui à Bienne, avec un atelier au Mont-Soleil. Il a fait des études de pédagogie puis de peinture à la Haute Ecole de Berne et de musique au Conservatoire de Berne et aux Hautes Ecoles de Zurich, Vienne et Salzbourg pour obtenir un premier prix de virtuosité avec félicitations du jury au Conservatoire de Fribourg. Il n’est pas étonnant qu’on le retrouve dans la peinture et la musique.

En effet, Jean-Pierre Gerber expose régulièrement en Suisse et à l’étranger (BexArts, Biennale de Florence, Prix Longines pour les Jeux 2012 à Londres), tout en participant en tant que soliste vocal à de nombreux concerts et représentations d’opéras dans le monde (Festival de Dresde, de Prague, de Vaison-la-Romaine, d’Autun).

S’il est Jurassien d’origine, Pascal Rebetez, vit entre le Valais et Genève. Né en 1956, il est connu pour ses activités journalistiques, de RFJ – Fréquence Jura à la Télévision suisse romande où il est l’auteur de nombreux reportages. Mais on lui doit en particulier la création des « Editions d’autre part », qui ont édité de nombreux ouvrages depuis 1997. Pascal Rebetez a publié lui aussi plusieurs livres et est l’un des auteurs jurassiens les plus connus. On pourra l’entendre aux Fours à chaux, notamment dans le cadre de vidéos.